The big-toy

Le fond de l’aire est frais mais très agréable en ce soir de mai.

La lune, presque en son plein, caresse de son voile de lumière les champs que je traverse à belles enjambées pour rejoindre l’endroit où mes sens vont s’offrir une belle tranche de plaisir.

Arrivé à l’orée du bois, je prends le petit chemin qui quelques mètres plus loin, conduit mes pas dans une petite clairière.

Elle est déjà là, assise sur un petit banc, les jambes écartées, sa petite chatte offerte et dont la mouille scintille grâce à l’éclat de la lune.

Cela doit déjà faire un moment que cette petite vicieuse se caresse vigoureusement le minou car à observer les torsions de son bas ventre et les petits gémissements qui sortent de sa bouche, la gourmande a déjà bien joué avec son corps.

Je la laisse se toucher sans intervenir, tout heureux de constater qu’elle a suivi à la lettre mes instructions. En effet, elle a laissé ses longs cheveux tomber sur ses épaules après avoir noué un bandeau sur ses yeux. Son chemisier n’était plus retenu que par un seul bouton placé à la hauteur de son nombril. Ainsi, ses beaux seins, en forme de poire, avaient tendance à s’échapper de ce petit bout de tissu et à laisser apparaître 2 magnifiques tétons bien tendus et prêts à être caressés.

Sur ces cuisses, une mini-jupe retroussée laissait voir des jarretelles tendues par des bas noirs, alors que son sexe lisse attendait avec impatience qu’on joue avec lui.

Cette vision m’excita chaleureusement, ni une ni deux, me voilà nu, la verge au garde à vous, prêt à soulager l’impatience de cette sale gamine.

Sans autre forme de préliminaire, je passe mes bras sous ses fesses pour  soulever les hanches de cette garce et  introduire d’un bon coup sec ma bite en rut dans cette chatte impatiente.

Mes vas et viens sont rapides et puissants, mes couilles claques contre ses fesses alors que la petite jouis presque instantanément.

Cette extase aussi soudaine qu’inattendue de sa part me fait chavirer dans un état second et je me surprends à la défoncer comme un forcené. Elle crie et en demande encore et encore.

Sans crier garde, je me retire, la retourne à 4 pattes sur le banc et profitant de sa mouille, je lui perfore la rondelle sans aucune préparation. Son anus est  bien serré, si bien que ma verge se sent tout de suite à l’aise au fond de ce trou.

Un cri de douleur a remplacé l’espace d’un instant ses râles de jouissance, visiblement ce trou n’a pas encore beaucoup l’habitude d’être visité, mais très vite, c’est elle qui imprime le rythme et elle me demande de la prendre encore plus profondément. 

Tout en m’exécutant, je sens que son corps tremble toujours plus fort et sans aucun signe précurseur elle laisse expulser de sa chatte un jet chaud en même temps qu’un cri de délivrance, quel orgasme et quel surprise de découvrir une femme fontaine.

A cet instant, je n’y tiens plus et à mon tour j’éjacule violement, remplissant de mon foutre le cul de cette salope.

M’étant retiré, je vois un peu de mon sperme glisser hors de son cul tout en sentant une main ferme se saisir de ma verge. Visiblement ma chienne en veut encore un peu, car en moins d’un clin d’œil elle enfourne ma bite gluante dans sa bouche pour la sucer sans retenue encore de longues minutes, pour, au final, me la rendre aussi propre qu’un nouveau né sorti de son bain.

Je me retourne et prend mes habits sous le bras, laissant cette gourmande encore toute essoufflée couchée sur le banc, les yeux toujours bandés et son sexe grand ouvert.

Alors que je quitte la forêt et retrouve le clair de lune, je vibre encore des frissons de satisfaction qui ont traversés mon corps, quel délice à quand la prochaine fois…